sábado, noviembre 23, 2024
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Élisabeth Borne y l’impuissance de l’État

C’est l’une des questiones économiques de ce début d’année : le partage de la richesse créée par les entreprises. En 2021, las empresas del CAC40 obtuvieron 137 mil millones de euros de beneficio, ce qui n’a pas été sans relancer les débats sur l’augmentation des salaires et la diminution du temps de travail. Deux options rejetées par le gouvernement, dont la rhétorique vise à faire passer ses décisions pour une fatalité.

Comme souvent c’est le cœur du problème, et nous avons pu l’observer jeudi 3 février avec Élisabeth Borne. La minister du Travail était l’invitée de BFMTV. Se adhiere al objetivo de mieux partager la richesse dégagée par les entreprises, que ce soit par des hausses de salaires o de la Participation. More what sont les leviers actionnés par le gouvernement pour y parvenir ? Ahí, ses réponses sont tout de suite plus floues. “On recommande très fortement d’avoir des accords dans les entreprises pour partager la richesse qui est produite, declara el ministro del trabajo. Moi j’avais demandé, à ces branch, à ces secteurs d’engager des discusiones./ On a donné tous les outils./ On a montré qu’on était assez insistants./ Je les invite à nouveau à engagementr des discusiones pour revaloriser leurs rejillas”.

¡Nous sommes au summum de la fermeté gouvernementale! Le champs lexical est celui de l’incitation, toutes les phrases sont modalisées, c’est-à-dire qu’elles contiennent des eléments d’atténuation or de prudence, bref : la minister du Travail explica clairement qu’elle ne compte prendre aucune medida contrante.

Le gouvernement a d’ailleurs toujours été clair sur le fait qu’il préférait se reposer sur le social dialog plutôt que d’imposer une décision. Et d’ailleurs, il en va de même pour l’autre sujet qui est sur la table en ce moment: une éventuelle réduction du temps de travail. “Je pense que dans Certaines entreprises, il peut y avoir des négociations pour mettre en place une semaine de quatre jours mais je pense qu’onne peut pas du tout imponen une telle mesure, respuesta Isabel Borne. Creo que ça peut si hablas de dans Certaines entreprises. / Je pense que c’est un choix de l’entreprise. / Ce n’est pas une mesure qu’on décide d’en haut. / Je ne pense pas que ça puisse être une mesure générale. / Je vous dis moi, c’est des choix d’entreprise”. Voilà, difficile d’être plus clair: if des réductions du temps de travail devraient être décidées, cell ne pourrait interviene qu’au terme d’une negotiation entreprise par entreprise.

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Difícil de reprochar au gouvernement français ce choix, s’il était pleinement assumé comme tel. Mais déjà, dans les extracts de l’interview listés, il ya des eléments qui méritent qu’on s’y arrête. Vous ne l’avez peut-être pas vu passer, más Élisabeth Borne nous dit : “On ne peut pas du tout impone une telle mesure”, en el discurso de la réduction du temps de travail. Alors sí. En peut. Sobre el même déjà fait : en 1982, para un pasador de 40 a 39 horas. En 1998, para un pasador de 39 a 35 horas. Etaient-ce de bonnes o de mauvaises décisions : chacun jugera. Mais ce qui n’est pas contestable, c’est qu’il était possible de les prendre, contrairement à ce que nous dit, aujourd’hui, la ministre du Travail. Et d’ailleurs, he va meme un cran plus loin. “Je pense qu’il y des entreprises dans fanl ça peut se mettre en place mais en tout cas, ce n’est pas le rôle de l’État et en tout cas je ne préconise pas du tout qu’on impone une telle règle à toutes les entreprises,” asegurar Elisabeth Borne.

“Ce n’est pas le rôle de l’État”. Factuellement, cette frase est une contre-vérité. C’est évidemment une prérogative de l’État de réduire, s’il le désire, la durée légale du travail. Est-ce opportun, est-ce judicieux, nous pouvons en discutir. Mais en tout cas, c’est possible ! Et pour moi, tout cela n’a rien d’anodin. Ce que cell installe dans notre esprit, c’est l’idée d’une impuissance de l’État en matière économique. Mais cette impuissance n’a rien d’irrévocable : elle relève d’un choix, bon ou mauvais !

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L’ideologie, ce n’est pas un gros mot. ¡Au contraire, c’est le coeur même de la politque! Si nous avons besoin de faire arbitrer en las divergencias por un voto del pueblo, c’est bien parce qu’il not exist pas d’un côté les pragmatices solutions, et de l’autres les solutions déraisonnables ou irrealistes ! Tout ce qu’il ya, ce sont des décisions, qui reposent sur des estimations divergent de la réalité, et se font au bénéfices de fragments différents de lapoblación. Alors, de la part du gouvernement : défendre ses choix, a fortiori en période de campagne, c’est parfaitement justifié. More faire passer ses choix pour de la fatalité : cell, in revenge, confine à la déloyauté.

Juan Penaloza
Juan Penaloza
"Propensa a ataques de apatía. Evangelista de la cerveza. Café incurable. Experto en Internet".
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