En el début d’après-midi, dimanche 30 janvier, un camión de déménagement s’est arrêté ante la fachada de un immeuble du quartier romain de Parioli, o l’attendait Sergio Mattarella. C’est ici, dans ce central quartier more tranquille, prisé de la bourgeoisie romaine, que el presidente italiano espera la decisión de goûter aux simples joyas de un país se retracta après la fin de son septennat – prévue, en théorie, le 3 février. Les dernières semaines, il les avait passées à faire ses adieux et à préparer son emménagement. Tout était en place, mais les circonstances en ont décidé autrement.
La veille, au sortir d’une éreintante semaine de vote présidentiel during laquelle a miller of grands électeurs if they are free to sept tours de scrutin sans issue, a group of chefs de parti et de délégués régionaux est monté sur la colline du Quirinal, siège de la presidence, pour lui demander solennellement de rester en fonction quelques années de plus, et ainsi conjurer le risque d’une catastrophe. Celui-ci a eu l’élégance de ne pas se faire prier et a accepté de se dire disponible. Des lors, le huitième tour de scrutin n’était plus qu’une formalité.
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Un peu après 20 heures, Sergio Mattarella, 80 años, a été réélu pour a second septennat avec 759 voix sur 984 suffrages exprimés, dans une atmósfera de soulagement général.
Fidèle à son style laconique, presque timide, le president s’est borné à pronouncer une allocution d’une minute et demie, dans laquelle il déclare accepter parce que «Le sens des responsabilités et le respect des décisions du Parlement doivent prévaloir sur les autres considérations et sur les projetspersonals». Rarement aura-t-on vu un vainqueur manifester aussi peu d’enthousiasme.
Ainsi, dimanche après-midi, les déménageurs sont donc venus reprendre les meubles et les cartons qu’ils venaient à peine d’installer. Peu après, le camion a été vu pénétrant dans le palais du Quirinal par une entrée laterale.
Si esta cuestión es ineludible es porque es evidente la incapacidad de las distintas fuerzas políticas para s’entendre apparaissait de plus en plus évidente. Vendredi, le processus, electoral, toujours laborieux, avait commencé à tourner au jeu de massacre. Au cinquième tour de scrutin, le chef de file de la Ligue (extrême droite), Matteo Salvini, para intentar un pasaje en vigor, de antemano le nom du deuxieme personnage de l’Etat, la president du Sénat, María Elisabetta Casellati. D’ordinaire, una figura institucional de ce profil n’est exposée au grand jour qu’avec la certitude de l’emporter. Ici, rien de tel : ni la gauche ni le Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème) n’avaient la moindre enviado por el diseñador. L’échec était donc inévitable, mais son ampleur (382 voix, soit 123 de moins que la majorité requise) a démontré la désunion de la droite ainsi que l’absolue nécessité d’une trêve.
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