Polémique Sézane: 5 minutos para comprender pourquoi la marque s’est attiré les foudres du Mexique

« Le temps des fleurs » de Dalida, des chants d’oiseau en fond sonore, de jolies couleurs et de larges sourises… En el estreno, la secuencia de vídeo transmitió el debut de semaine par plusieurs comptes sur les réseaux sociaux met in scène une belle reunirse entre los equipos de la marque française Sézane y un habitante del pueblo de Teotitlán delle Valle, al sur de Mexique. La bigde qui l’accompagne indica tout le contraire.

« Après Isabel Marant, au tour of the marque française Sézane de débarquer à Oaxaca con ses gros sabots, s’emparant de la ville, de ses environs et de ses habitants », ver en Instagram Manuela Nadxiee’lii. Cette jeune maman mexicaine se presenta conmigo artiste textile y explica su interés en l’actualité de l’industrie du prêt-à-porter, tout en se posant en gardienne de la culture mexicaine et plus particulièrement de l’état d’celle Oaxaca, al sur de Mexique, no es original.

« Aucune éthique », canta Manuela Nadxiee’lii, tout in acompañante son disours ulcéré d’une video, et des mots-diese #respetasezane et #oaxacanoestubodega – #RespectSezane et #OaxacaNestPasTaBoutique. Rápidamente, des habituées de la marque relaient ses message et Sézane se voit demander des explications.

Sur son compte Instagram, las publicaciones recientes de Sézane sont noyées de commentaires lui demandante des comptes sur le shooting au Mexique.  Captura de pantalla Instagram @sezane
Sur son compte Instagram, las publicaciones recientes de Sézane sont noyées de commentaires lui demandante des comptes sur le shooting au Mexique. Captura de pantalla Instagram @sezane

Que s’est-il passé ?

Debut de enero, una parte del equipo de Sézane se envuelve en México y realiza las fotos que se encuentran en la colección prochaine de la marque. Dimanche, le compte Instagram @lienzos.extraordinarios, appartenant à Manuela Nadxiee’lii, if fait le relais d’une video dont on ignore qui en est l’auteur, ne par qui elle a été divulguée, montrant les salariés de Sézane autour de la fondatrice de la marca, Morgane Sézalory, in train d’« improvisador » a shooting mettant in scène une dame âgée tout sourire, à laquelle une femme, manifestement la photographe de l’équipe, s’adresse en espagnol.

S’ensuit una escena de baile entre les deux femmes, sur un air de Dalida, le tout devant l’équipe professionnelle, concentrée. EL mínimos, una foto de ropa y un teléfono inteligente semblante registran la escena.

Qu’est-il exacment reproché à la marque?

Manuela Nadxiee’lii reproche d’abord à la marque d’être place disturber la vie paisible de la petite commune mexicaine, contrairement à ce qui, dit-elle, avait été discutir en amont avec la municipalité. « El equipo de Sézane pensó en lo fácil que sería filmar una femme âgée du marché de Teotitlán delle Valle. Peu import qu’ils aient convenu avec la municipalité qu’ils laisseraient les gens tranquilles. Sézane s’en chamait, et presque comme si la femme était un accessoire, ils l’ont habillée (le pull qu’elle porte fait partie de leur collection) et l’ont fait danser en lui offrant 200 pesos mexicanos, soit environ 10 dólares », acusa Manuela Nadxiee’lii, ponctuant en la publicación d’un nervioux « assez, assez, assez ».

Manuela Nadxiee’lii acusa a donc Sézane d’avoir manqué de respect à cette inhabitant mise en scène dans ce qui ressemble, a priori, à un decor de shooting, et de l’avoir payée – une moddique somme – pour cela. « Las culturas tradicionales mexicanas ne sont pas un zoo. Nous ne sommes pas des accessoires. Nous ne sommes pas un catalog ouvert de design. Nous ne sommes pas au service des marques internationales », gronde l’artiste. Cette dernière va plus loin en accusant Sézane de participar aux «sursauts du colonialisme» qui plombent l’État d’Oaxaca, théâtre de shootings occidentaux deployés dans ces decors exotiques sans respect des locales.

¿Qué responde Sézane?

Dans une réponse adressée au Parisien ce mercredi, la marque française, qui n’a pour l’heure pas communiqué à ce sujet sur ses differents réseaux, dément avoir versé une quelconque somme à l’inhabitant de Teotitlán delle Valle. « Ces photos étaient destinées only au journal entre bastidores de la créatrice. Aucun paiement n’a été effectué, puisque ces photos n’avaient aucune vocation commerciale. Il s’agit des photos d’une femme récontrée spontanément trois jours auparavant dans les rues de Teotitlán delle Valle, que aceptó venir partager a déjeuner avec l’équipe Sézane y participar en la séance photo du journal entre bastidores », indicar la marca.

Dans une autre réponse, envoyée cette fois en privé par Morgane Sézalory à Manuela Nadxiee’lii, et que cette dernière a rendu publiquen, la créatrice de la marca insiste en la «conexión» que l’a conduite à donner rendez-vous à cette vieille dame trois jours après leur rencontre. «Importo la question de nos origines, il était question là de deux cœurs qui se rencontrent», afirma-t-elle à sa détractrice.

Morgane Sézalory semble toutefois admettre que de l’argent to été versé, tout en se dédouanant de la faiblesse de la somme. « Je n’étais au courant de l’argent qui a été donné, car là aussi c’est l’équipe de production qui s’en est chargée. Creo que será aussi généreuse et juste que je le suis, comme toujours», afirma-t-elle.

¿Qué suites?

Dans les heures qui ont suivi le premier post by Manuela Nadxiee’lii, Sézane annulé sa campagne photo au Mexique. Queda por marcarlo, en dépit de ses « Compromisos responsables » hijo « programa solidaridad », el égratigné, avec cet épisode, une image qu’elle avait aroundée after un precedente scandale. En 2015, la revista Capital se reunió en luminère son recours à des ouvrières textiles surexploitées à bas coût en Macedonia. Luego, Sézane réalise des audits réguliers sur ses chaînes de production, selon le blog Verdemente tuyo.

La polemique a poussé l’Institut gouvernemental mexicain en charge de la défense et la preservación des peuples indigènes à condamner «ferment l’utilization et l’exploitation de l’image de l’image des indigènes par la marque Sézane». Un mensaje semble-t-il passé. « Nous avons entendu, compris que notre approche ait pu heurter la communauté locale mexicaine, réagit Sézane auprès du Parisien. Et nous sommes sincèrement désolés qu’elle n’ait pas reflété les meilleures intents pour la communauté locale pour qui nous avons un profond respect. »

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