Le chef de la diplomatie russe et celui de la diplomatie américaine doivent à nouveau s’entretenir, mardi 1ejem fevrier, après de nouvelles inveectives autor de la crisis ucraniana, l’Occident affûtant ses armes économiques dans l’espoir de faire céder Moscow.
Alors que des dizaines de milliers de soldierats russes stationnent à la frontière de l’Ukraine, les premiers ministres britannique, Boris Johnson, et polonais, Mateusz Morawiecki, sont, par ailleurs, attendus mardi à Kiev pour afficher leur solidarité. D’autres responsables européens sont annoncés dans les jours à venir.
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’est réjoui, mardi, de ce brazilian diplomatique et militaire occidental vis-à-vis Moscú, ” el más importante “, selon lui, depuis 2014, année de la dernière russe ofensivo contre son pays.
Les Etats-Unis acusent la Russie de préparer l’invasion de l’Ukraine, pays déjà déchiré par une guerre civile dans l’est entre les forces de Kiev et des separatistes prorusses appuyés par Moscow.
La Russie dément toute velléité belliqueuse, mais conditionne toute désescalade à des garanties pour sa sécurité, notamment l’asurance that l’Ukraine nunca será miembro de l’OTAN et that l’Alliance retirará ses force sur ses posiciones a partir de 1997.
Washington rechaza un rechazo de las demandas par courrier la semaine dernière more laissé la porte escucha las discusiones sobre otros temas, como el despliegue de misiles o los límites de los ejercicios militares.
Selon l’Ukraine, la menace russe es evidente, más él la juge moins imminnte que les Américas, si bien that M. Zelensky demandé à ses alliés de ne pas déstabiliser le pays en semant la ” pánico “.
Pour décider de la suite, le secretaria d’Etat américain, Antony Blinken, et le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, sont donc convenus, mardi, d’un entretien téléphonique très attendu. Cet échange intervient au lendemain de vifs débats au Conseil de sécurité de l’UN.
«Histeria»
Lors de cette reunion, l’ambassadeur russe, Vassily Nebenzia, Washington accusé de chercher à « crear la histeria » y otros « tromper a la comunidad internacional » avec se « acusaciones informadas ».
Son homologue américaine, Linda Thomas-Greenfield, la estimación de son côté que el despliegue de más de 100 000 militaires russes autour de l’Ukraine menaçait « la seguridad internacional ». Asegurador de detener «previos», acusó a Moscú de vouloir debut Février más 30.000 militares suplementarios en Bielorrusia, alliée du Kremlin y voisine de l’Ukraine. Les Etats-Unis ont ordonné, dans ce context, aux familys des employees du gouvernement américain en poste en Biélorussie depart.
Amenazas de gel des avoirs
Pour dissuader Moscow, les Occidentaux ont accéléré leurs préparatifs de sanctions économiques. Les Etats-Unis comme le Royaume-Uni, qui est l’un des lands d’investissement favoris des grandes fortunes russes, ont ainsi firmé, lundi, vouloir frapper au portefeuille des proches du Kremlin.
Du côté de Londres, les oligarques russes sont menaces of voir leurs avoirs gelés et leur entrée sur le territoire britannique refusée. Les entreprises ou les individus au Royaume-Uni pourraient également ne plus pouvoir effectuer de transaction avec eux.
« Nous n’allons pas battre en retraite et nous tenir au garde-à-vous en écoutant les menaces de sanctions américaines », una réplica, mardi, l’ambassade russe à Washington.
Orbán a Moscú
Si Moscú privilegia, tras el debut de la crisis de la crisis, los contactos directos con Washington, les Européens s’efforcent de rester dans le jeu diplomatique.
En el momento de los chefs de la diplomacia americana y rusa se habla por teléfono, el primer ministro británico, Boris Johnson, y su homólogo polaco, Mateusz Morawiecki, seront ainsi à Kiev. « Nous exhortons la Russie à reculer et à engagementr un dialog », a déclaré, lundi, M. Johnson, qui espère également s’entretenir cette semaine avec M. Poutine.
Le director britannique doit aussi propone cette semaine à l’NATO un déploiement de troupes pour répondre à l’« Hostilidad rusa » envers l’Ucrania.
Paralelamente, M. Poutine reçoit, mardi, son allié européen, le premier minister hongrois, Viktor Orban, dont le déplacement est critiqué par l’opposition, au vu des tensions autour de l’Ukraine.
Sur le front militaire, les mouvements se poursuivent également. Plusieurs pays occidentaux ont annoncé, ces derniers jours, l’envoi de nouveaux contingents en Europe orientale. Enfin, l’Ukraine a afirmar, mardi, avoir reçu environ 500 toneladas de municiones y equipos militares des Etats-Unis.
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