C’est le directeur du site d’information locale Monitoreo de Michoacán verter fanl travaillait roberto toledo comme cameraman et monteur video, qui annoncé sa mort ce lundi.
foca Armando Linares qui souligne que son promedio avait reçu des menaces pour son travail d’enquête sur lacorruption gouvernementale au Mexique, trois assaillants auraient abattu roberto toledo dans la ville de Zitácuaro.
“Pour avoir dénoncé des Administrations, des fonctionnaires et des politiciens corrupt, cell a conduit aujourd’hui à la mort de l’un de nos collègues”el comunicado de Armando Linares. “Des gens se sont approchés de lui et l’ont abattu”.
“L’équipe du Monitor Michoacán a subi pendant des semaines et des mois des menaces de mort. Nous savons d’où cela vient”at-il ajouté sans toutefois nommer précisément les personnes qu’il pense être responsables.
Roberto Toledo es el quatrième periodista asesinado tras el début de l’année dans ce pays.
Le Mexique sous le choc après plusieurs asesinatos de periodistas
Le 25 janvier dernier, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées à Mexico devant le siège du ministère de l’Intérieur, sous le slogan “Nous exige la justicia”. Des fotos de periodistas asesinos avaient alors été project sur les murs du bâtiment.
D’autres rassemblements de ce type avaient également été convoqués dans une quarantaine de villes à travers le pays, dont Tijuana, sous le mot d’ordre: “Sin silencio, sin oubli”et tous faisaient suite à l’assassinat mi-janvier de deux journales à Tijuana in moins d’une semaine.
Lourdes Maldonado López a été tuée le 23 janvier par “arme à feu alors qu’elle se trouvait à bord d’un véhicule”, para indicar le parquet général de l’Etat de Basse-Californie dans un communiqué. ella “travaillait comme periodista”el ajouté le parquet en annonçant l’ouverture d’une enquête.
Elle travaillait verter Primer sistema de noticias (PSN), cadena de televisión adjunta a Jaime Bonilla, gouverneur de l’Etat de Basse-Californie desde 2019 hasta finales de 2021, et proche du président mexicain Andrés Manuel López Obrador.
La victime avait gagné il ya quelques jours un procès contre PSN, qu’elle poursuivait depuis neuf ans pour license abusif.
Elle avait demandé en marzo de 2019 del presidente López Obrador, “appui, ayuda y justicia” avoir afirmativo “puedo verter (s) ver”selon une video republiée sur les réseaux sociaux à l’annonce de son assassinat.
El presidente López Obrador, el calificado de “lamentable” l’asesino de la periodista. “Il faut faire une poll à fond”en-il ajouté lors de sa presse quasi-quotidienne conference.
Il a indiqué être resté en contact avec la journale après son intervention début 2019.
“On ne peut pas, de manière automatique, lier une plainte en droit du travail à un crime”at-il prévenu.
“N’oublions pas, c’est tout ce que je demande, que nous sortons d’une période de décadence, et que laviolence a commencé à manifester il ya 20 ou 30 ans”para concluir le président de gauche investe fin 2018 en promettant de rompre avec le neoliberalisme de ses prédécesseurs qu’il accuse de tous les maux (corrupción, injusticias, violencias).
Un otro periodista, le photoreporter Margarito Martínez, avait été tué le 17 janvier dans la même ville. Il collaborait avec l’hebdomadaire zetala vida cotidiana Viaje et des journales étrangers en reportage dans la région. Le parquet a déclaré qu’il n’écartait aucun mobile dans son enquête.
Le Mexique, l’un des pays les plus dangereux au monde pour les journales
Au moins sept journales ont été tués en 2021 au Mexique, d’après un decompte de l’AFP, which intentó chaque fois d’établir si la victim était encore en activité, et if he et été tuée à cause de son travail journalique .
Cell semble être le cas dans l’Etat du Veracruz (sureste), où un homme présenté comme un journale, JoséLuis Gamboaa été retrouvé mort poignardé le 10 janvier, ont indiqué lundi plusieurs sources. “Gamboa avait dénoncé et critiqué enérgicamente les autorités locales pour leur rélation avec le crime organisé”d’après l’ONG Reporters sans frontières qui classe le Mexique à la 143e place (sur 180) de son Classement mondial de la liberté de la presse 2021.
Le Mexique est considéré comme l’un des pays les plus dangereux au monde pour les journales, exposés aux représailles des carteles de narcotrafiquants à l’œuvre dans plusieurs des 32 Etats du pays.
Una centaine de periodistas ont été tués depuis 2000, d’après des chiffres de la Commission des droits de l’homme.
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