Le recette de Mehdi Lahlou pour une croissance économique forte

L’économie nationale est plombée par trois facteurs: ausencia de visibilidad, imprévisibilité et ausencia de gobernanza, selon l’économiste Mehdi Lahlou qui a été l’invité, jeudi dernier, de l’émission L’Info en Face du Groupe «Le Matin ». Il en veut pour preuve la fermeture des frontières qui a trop duré pénalisant la look de l’économie du pays. Pour Réssir Cette Glance, il propone notamment de reventiler l’investissement public, faire appel à la diaspora, create a fonds pour la recherche scientifique en Afrique et mobiliser, à titre gratuit, les compétences en âge de retraite.

Ausencia de visibilidad, imprevisibilidad y ausencia de gobernanza son 3 facteurs qui plombent l’économie nationale selon Mehdi Lahlou, économiste et professeur d’enseignement supérieur, qui a été l’invité, jeudi dernier, de l’émission L’Info en Face du Grupo «Le Matin». Il en veut pour preuve la fermeture des frontières qui a fini par déclencher, ces derniers jours, des manifests organisées par les trade unions professionnels du tourisme qui ont rassemblé des travailleurs du secteur dans les villes de Rabat, Essaouira, Fès, Marrakech et Tanger pour demander l’ouverture des frontières, le 1er février prochain. Pour Lahlou, «si ces gens ont manifesté, c’est qu’ils se trouvent dans une status de précarité absolue et de pauvreté totale. Certains n’arrivent même pas à boucler leurs fins de mois et même parfois leurs fins de journées». Le tourisme, c’est théoriquement 1,2 millones de empleados directos e indirectos y el 8% del PIB. C’est également un secteur qui irrigate l’ensemble de l’économie nationale.

Protection sanitaire vs préservation de l’économie: el dilema de l’éternel

Faut-il donc prioriser la protection sanitaire or préserver l’économie ? Pour le gouvernement, la priorité est clairement de préserver l’infrastructure sanitaire. C’est une way of justifier la fermeture des frontières. Sin embargo, ailleurs c’est l’inverse qui se produit. «L’Espagne, l’Autriche et le Danemark ont ​​​​décidé de considerer le virus comme une épidémie gérable et ont décide d’ouvrir totalement leurs économies from the 1er février prochain. L’Espagne a même décidé de ne plus comptabiliser les dégâts sanitaires. ¿Es la política del gouvernement marocain serait meilleure que celle de ces trois pays?»

La pandémie a clairement mis en évidence a nombre de défaillances et de deficit sociaux dont le premier est certes sanitaire. «Nous avons découvert aussi que le système éducatif ne tient pas la route. Para todos los gustos, la mise en place du compte special pour la Covid a révélé qu’entre 24 y 26 millones de marroquíes que viven en situación de pré-carité o fuerte pré-carité. Les chefs de famille de cette población, 5 millones en total, travaillent dans l’informel, dans un secteur non précisé o disposent de revenus très faibles. Menos dos niveles de la población se trouvent donc dans une precarité sociale status parce qu’elle est dans une status de précarité économique’ of development (NMD). D’ailleurs, notre invité reproche au NMD de ne pas être base sur «une analysis and a diagnostic précis et profond des failles de l’économie marocaine».

Quant au gouvernement, anunciando un proyecto de creación de 1 millón d’emplois sur 5 ans n’est pas très réaliste, selon Lahlou. «Un punto de croissance permet la creación, hasta el máximo, de 30.000 empleados perennes. Donc, avec un taux de croissance of 3,2%, on ne peut créer, mathématiquement, que 90.000 emplois sur un an», explica Lahlou. Además, la calificación de los chiffres avanzó sobre la creación de 500.000 y 600.000 emplois en el período 2014-2020, «d’erronés puisque les statistiques démontrent que sur 2014-2019 seuls 15.000 emplois ont été annuellement». Plus globalement, selon Lahlou, le virage industriel pris par le Maroc n’a pas reissi, car les ingrédients necessaires manquent à l’appel : recursos humanos calificados, formación profesional, competencias marroquíes. Nous avons aussi mal négocié ciertos acuerdos y contratos comerciales e industriales. «L’automobile marches sauf que nous ne sommes pas dans le cœur de la production. Nous sommes dans la production intermediaire comme la carroserie. Nous ne faisons pas la boîte à vitesses, pas encore les moteurs que nous importons de Roumanie or du Mexique. De maniere plus globale, le secteur automobile, c’est à peine 1.200 entreprises», afirma Lahlou. Pour l’accord avec les partenaires français, il est fondé, selon l’invité de L’Info en Face, sur un Certain nombre d’incitations qui ont plus favorisé le transfert de dividends et le transfert de valeur ajoutée de la main-d ‘Oeuvre locale versus l’étranger. «Nous n’avons pas développé un cierto nombre de métiers que auraient permite una mejor integración de la producción nacional dans cette industrie. Et la progresión que nous remarquons est réalisée en réexportant ce que nous importons. Ce program industriel amorcé in 2014 disait qu’en 2020, l’industrie atteindrait 23% of GDP. O aujourd’hui nous sommes à 14% seulement, selon le Haut-Commissariat au Plan et la Banque centrale», indica Lahlou.

L’investissement public doit être reventile

¿Qué propone Mehdi Lahlou? La dépense publique doit être rationnelle et engagement dans des secteurs porteurs qui renforcent le capital humain comme l’education, la recherche scientifique, la preservation de la santé des citoyens pour qu’ils restent productifs et la formation professionnelle. L’investissement public, lui, doit être ventilé, selon Lahlou, et place dans des project d’infrastructures that permettent une meilleure interconnection between les régions afin that toutes participante à la production de valeur ajoutée. Por otro lado, rappelle-t-il, la diáspora es un nivel importante de desarrollo económico: 450.000 competencias marocaines sont installées à l’étranger, selon Lahlou. «Nous disposons d’une large communauté de Marocains aux États-Unis, au Québec et ailleurs qui est prête, grace au travail à distance, à promouvoir la production nationale. Utilisés à bon escient, les talents marocains contribuirán, chacun à sa manière, au développement de l’économie marocaine», preconise cet économiste.
Autre propuesta de Lahlou, celle faite lors de la dernière générale générale de l’Unesco, pour la creation d’un fonds pour le financement de la recherche scientifique en Afrique. «Yo soy el que les autoridades marocaines y partícipe. Seouls, nous ne pouvons pas resoudre les problems du continente», souligne l’invité de L’Info en Face. Finalmente, recomiendo al profesor de economía, el beneficio del mobiliser les retraités hautement qualifiés dans des actions généreuses et de faire de tal manera que las instancias publiquen les intègrent d’une fazon o d’une autre pour permetre la mise à niveau de nuestro sistema educativo. Ce qui contribuerait à la réduction de l’inequation formation-emploi.

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